L’adolescent qui avait dîné au Quick d’Avignon est bien mort de son repas
L’enquête sur la mort en janvier d’un adolescent qui avait mangé chez Quick a établi que le décès était lié à ce repas, a annoncé vendredi le parquet qui a ouvert une information contre X pour homicide involontaire, en citant des manquements graves aux règles d’hygiène.
Rédaction en ligne
Publié le 18/02 à 22h56
“La synthèse des rapports médico-légaux permet de conclure que Benjamin Orset est décédé d’une toxi-infection alimentaire, liée à l’absorption d’un repas pris quelques heures avant sa mort, soit la veille au soir le 21 janvier, au restaurant Quick Cap Sud à Avignon”, a déclaré le procureur de la République à Avignon, Catherine Champrenault, lors d’une conférence de presse.
“Cette analyse résulte d’abord de l’exclusion de toutes les autres hypothèses étudiées par le juge d’instruction: repas pris à la maison, élevage d’animaux par la famille, déjeuner à la cantine scolaire”, a-t-elle ajouté.
La victime, âgée de 14 ans, habitant avec ses parents le village d’Oppède (Vaucluse), avait succombé le samedi 22 janvier à la mi-journée.
Les expertises ont mis en évidence la présence de staphylocoques dorés dans le liquide gastrique de l’adolescent et sur cinq des huit salariés ayant travaillé le 21 janvier dans le restaurant, “ainsi que sur le sol carrelé du stand d’emballage des denrées alimentaires”, a poursuivi Mme Champrenault. En outre, une même entérotoxine a été retrouvée à la fois dans le liquide gastrique de la victime, sur deux employés et dans les locaux de l’établissement.
Cette double présence de staphylocoques dorés et de l’entérotoxine est “anormale et dangereuse”, selon les experts. Reste à déterminer, dans le cadre de cette nouvelle information, les responsabilités pénales, l’établissement étant franchisé.
Quick, groupe fondé en Belgique en 1971 et passé en 2006 sous pavillon français (racheté par CDC Capital Investissement, filiale de la Caisse des Dépôts), s’est rapidement défaussé sur son franchisé, avec lequel il est en conflit.
“Les premiers résultats de l’enquête (...) pourraient confirmer un dysfonctionnement local, limité au seul restaurant d’Avignon Cap Sud, et non une défaillance des produits fournis par Quick”, a déclaré le groupe dans un communiqué. “Par mesure de précaution, dès le 22 janvier, la direction de Quick avait immédiatement avancé la rénovation du restaurant Avignon Cap sud et pris la décision de reprendre sa gestion en direct”, a rappelé la chaîne de fast-foods. Quick n’a toutefois pas réussi à reprendre la gestion, faute d’accord avec le franchisé, propriétaire des murs et du fonds de commerce, et a rompu le contrat qui les liait en attendant. L’avocat du franchisé n’a pas souhaité faire de commentaires.
La préfecture du Vaucluse avait fermé le restaurant le jour du décès. Sa réouverture avait été autorisée la semaine dernière, mais l’établissement avait aussitôt refermé ses portes, officiellement pour des raisons techniques touchant au calibrage de nouveaux appareils
Flashé à 175 km/h et... acquitté par manque de photo test!
Le dernier “tuyau ” en date pour ne pas payer les excès de vitesse circule entre avocats dans la région d'Arlon. Il concerne un cas d'acquittement, il y a quelques semaines, par le Tribunal de police de Charleroi, d'un automobiliste flashé à 175 km/h.
Rédaction en ligne
Publié le 19/02 à 12h20
L'avocat qui a soulevé ce lièvre s'est basé sur la photo test que doit réaliser le policier qui va se servir du radar. Cela implique, avant de commencer à flasher de placer des cônes sur la route et de mettre l'appareil dans un certain angle, afin que tous les indicateurs se mettent sur 888, ce qui montre que le flash est bien placé pour fonctionner correctement. Il faut alors faire une photo test.
Or, bien souvent, les policiers négligent de faire cette photo... Dès lors, il arrive qu'on utilise une ancienne photo, ce qui n'est pas valable non plus, puisque la date et l'heure doivent apparaître sur le cliché.
À Charleroi, il n'y avait pas de photo test. La juge a estimé que cela était contraire aux prescriptions du constructeur: “ Faute de photo, il y a lieu d'acquitter le prévenu au bénéfice du doute ”...
传说中的“假离婚”被二手房中介极力推荐
反对者：婚姻不应成为一种工具 支持者：“假离婚”是被一刀切政策逼的
春晚小品《新房》中，刘威的一句“杯具啊！”道出了许多人的烦恼。今年1月27日，国务院出台楼市新政，八项措施调控房价。虽然杭州还未出台新的实施细则，但许多需要购买改善性住房的人，面临着难以抉择的窘境，如果不尽快买下，一旦细则出台，很有可能今年的改善计划就要泡汤。于是，钻政策漏洞的“假离婚”早已“随风潜入夜”。传说的“假离婚”，在二手房中介那里更成为促成买卖的最佳利器。
买还是不买，是个问题……
作为一名80后，小邓为了改善住房，在2008年房价大跌的时候，商业贷款买了一套近60平方米的二手房，2009年房价回升后，他将原来的房子卖掉，独自换了一套较大的房子，当时为了结婚，他公积金贷款50万元，至今还在还贷。
如今，已经成家的小邓两口子，将迎接一个新生命，小两口没时间照顾孩子，得找保姆、请父母过来一同照顾孩子，现在房子面积就显得捉襟见肘了。
“我仔细问了下，现在我要改善下住房条件，几乎不可能了。”小邓无奈地说。
“按照杭州现行的政策，我们再买属于三套房，不能再贷款，只能全额付款，我们哪有那么多钱？”小邓愁眉苦脸地说。
除了业已存在数月的“限贷令”，接下来的限购令可能让小邓根本没有资格再买房。
看着妻子越来越大的肚子，小邓心里默默地发愁。
中介出招：“假离婚”
就算是二套房的改善住房者群体，目前60%的首付比例也让小邓们望而却步。
“假离婚吧。”小邓说，这是中介给他的建议。
中介为他分析，如果小邓“假离婚”，那么他妻子作为无房户，就可以贷款购买一套房，等银行发放贷款、房产三证都办妥后，他们再进行复婚，这样只需要一笔首付费用就可以了。
起初，限贷令、限购令刚出来的时候，媒体上热炒的假离婚，小邓一直觉得离自己非常遥远。短短几个月过去，传说中的“假离婚”就与自己产生了交集，这是小邓始料不及的。
和小邓同一个单位的一位生于上世纪70年代的师兄，年前就“有备无患”去办了离婚。更为搞笑的是，一直想买套大房子把老家的父母接过来一起住的那位师兄，心里想着离了婚之后就能以首套房资格买房，在拿到离婚证书的时候，“夫妻”双方竟然忍不住笑出声来，弄得旁边给他们办理离婚手续的工作人员很诧异。
“假离婚”其实真得很
但小邓还是有些犹豫。中介口中的“假离婚”，其实是一种真离婚，他与新婚的妻子要去民政局先行离婚，然后再复婚，这样他与妻子都成为了离过一次婚的，他心里觉得有种怪怪的味道。
“就你们两口子知道，不要告诉别人嘛，不发生什么事的话，谁知道你们离过婚？”中介依然在怂恿他。
小邓道出了自己的担心：财产怎么分割？要不要写什么协议？万一复不了婚怎么办？
中介说，一般假离婚的，都是有孩子的，双方感情好，为了孩子，一般不会有非分之想的。中介为了让小邓放心，继续说：“我们这里有好几对呢，都是假离婚的，有一对都一年了，还没去复婚，两口子自己掂量，感情好的话没问题的。再说你们也有小孩了，你还怕什么？”
记者体验：“假离婚”是“上上策”
记者随后以买房者身份咨询了多家房产中介，多家二手房中介的经纪人表示，“假离婚”是规避限贷令、限购令的“上上策”(成本低，效果好)，可能也是唯一方法。
在华邦地产德胜店，听说记者“已经有过2次贷款买房的记录”，几个中介纷纷“支招”，异口同声说离婚是个捷径。“你现在买房就算三套了，按照现在政策，你要全额一次性付清，如果你借不到钱，你怎么买房子？离婚很方便的，手续办下就可以了，这样你老婆就可以买首套房了。”姓包的经纪人还说，按照现在国务院的“新国八条”限购令，就算有钱也买不了三套房，那就只有离婚这一条路了。
“银行方面卡得很紧的，贷款政策很严，你贷过两次，再买就算三套房，你只有两个办法，一次付清，或离婚。”易居臣信翠苑店的经纪人卢小英说，一次性付清，还得准备付各种税款的钱，这对于那些资金雄厚的投资者来说可以办到，但对多数工薪家庭来说，一般不卖掉现有房子是很难达到的，“像你这样的，有按揭吧，即使你把房子卖掉，换套大的，你还是没钱一次性付清，毕竟房价没有跌呀。”她说，最近来咨询的大多是这样的群体，手头钱并不多，想改善住房，如果是二套还好，遇到三套房的，基本上最好的办法就是离婚了。
记者又询问了我爱我家、21世纪不动产等多家房产中介公司，得到的答复大同小异。
杭州离婚零成本、零阻碍
在杭州，离婚其实很简单。不用任何费用，夫妻双方到民政局去，办个手续，一句“感情破裂了”，一般民政局离婚登记处的工作人员看“气色”没什么挽回余地，也就通过了。
据杭州市民政局统计，去年，杭州市离婚夫妻14920对，比2009年增加了2.8%，复婚2373对，占离婚总人数的15.9%。
“谁也说不清，这复婚的2373对里有多少是为了买房假离婚的，我们也说不清，离婚的近1.5万对里有多少是假离婚。”拱墅区民政局婚姻登记处的工作人员说，“离婚牵扯的方方面面太多了，夫妻双方一定要考虑种种因素，权衡利弊再做决定。”
这位工作人员说，他们无权干涉公民的婚姻，只要在双方自愿的基础上，离婚是零成本、零阻碍。
“我们不能拒办符合条件的离婚登记，不管是真是假。”这位婚姻登记处的工作人员这样说。
小邓与另一半商量后，最终还是放弃了假离婚。他告诉记者，政策未来应该会考虑到一刀切的限购对改善型购房的扼杀，政策的完善应该值得期待。
婚姻是否成为一种工具？
某专业房产网站曾推出一个“为买房子假离婚,你愿意吗”的网络调查问卷，结果有64%的网友说“可以试一试”。近年来，为了子女上学、拆迁补偿、购房等，许多夫妻都尝试过假离婚，这样的方式已经逐渐成为社会上人人皆知的“秘密”了。
在法律上，婚姻是自由的，即使夫妻双方为各种目的而离婚，均受法律保护。夫妻双方一旦办理离婚登记后，婚姻关系就已解除，是否复婚，均由当事双方自愿决定。由于“假离婚”同样受法律保护，如果对方是见异思迁的人，夫妻“假离婚”后，另一方将是事件中的受害者和牺牲品。
如果夫妻有隐藏着的积怨或见异思迁等因素存在，“假离婚”就会为日后矛盾的爆发埋下隐患。根据法律规定,即使在离婚后成功复婚，结婚前双方各自拥有的财产属于个人财产，不认定为夫妻共同财产。
此外，假离婚还面临被银行征信系统识破,降低信誉等级的风险。
网友建议限制离婚、复婚
法律人士说不妥
“如果不是假离婚钻政策空子，改善居住条件从何谈起。”网上有微博这样吐起苦水。
而假离婚在提供购房贷款的银行业务员眼中，也没有甄别的意义，“我们不负责做这项工作，也没有任何政策要求我们甄别。”而且，在银行从业人员本身的存贷款任务的压力下，以及银行业绩的增长，银行是不会去管“真离还是假离”，即使发现是假离，也“会睁一只眼闭一只眼”。
有网友建议，国家有必要出台规定限制离婚，比如离婚后不允许同居，如果查实，不得办理产权证；离婚后复婚的，要考虑家庭现有房产，超过第三套住房的，一律补交税费，还可以考虑出台“购房复婚细则”，离婚后双方有新购住房记录的、房产套数超过两套的，禁止复婚。
“网友的建议很难操作，这不仅要研究制定一系列细则，而且还要考虑是否与‘婚姻自由’的法理产生冲突。”一位法律界人士说，婚姻工具化的原因还是国家的政策存在问题，制度政策上的漏洞滋生了这种“反道德”的现象产生，这应该引起政策制定者慎重考虑，政策应考虑到各方面的利益需求，否则不仅会造成社会负面影响，也动摇了公众对于国家政策的尊重和信任。
链接一
假离婚引起的民事案例增多
《法制日报》最近发表一篇名为《房产调控政策出现副作用法院涉假离婚诉讼大增》的报道，报道中称，购房者由于规避调控措施引发的诉讼大量涌现，已成为基层法院一大受案类型。夫妻有可能因为房子问题相互猜疑引发感情裂缝，处理不当就会对婚姻造成真正的杀伤力。
另据媒体报道，南京一对年近四十的夫妇，为了顺利完成买房和房贷的相关手续，在两周10个工作日内先后办理离婚、复婚、离婚、复婚共4次手续。
链接二
为避税南京卖房男“娶”买房女
利息上调加重了负担，加之税赋又高，造成二手房交易中的避税方式花样频出。近日，便有一对买卖房屋的男女走进了公证处，为了避税，两个毫不相干的男女成了一家人，卖房的男子当起了“丈夫”，买房的女子成了“妻子”。他们手持假结婚证，在试图办理房产过户相关公证手续时，被公证员识破。
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