思觉失调[编辑]
思觉失调(英语:early psychosis)是一个在香港开始使用的精神病学名词、即精神病的早期征兆。泛指所有影响到思想、感官出现的早期精神问题,而情况尚未严重到与现实处境脱节。
名词的由来[编辑]
在2001年,香港医院管理局开始筹办一个医疗服务,目的是要针对及早治疗精神病患者,减轻其病情。于是一班精神科医生计划有策略地向大众宣传及教育有关精神分裂症、妄想症、躁狂抑郁症。考虑到这些精神病的早期表面征状,有可能以心理学的角度及少量镇静剂治疗。还有以下的因素,于是将"early psychosis"译作"思觉失调" :
病因[编辑]
思觉失调属轻型精神疾病的表面征状,一般包括感情障碍(如焦虑、忧郁等),思维障碍(如强迫观念等),这个阶段的患者,他的思维认知、逻辑推理、自觉反省能力都没有失去。常见的轻型精神疾病有强迫症、抑郁症、焦虑症、恐惧症等。
思觉失调的病因大部分属于心理范畴。
病征[编辑]
病者自觉与现实偏离。譬如:对外界事物产生幻觉,被侵害的妄想,思想紊乱,有时候过度兴奋,又时候则过度低落。患者大部分是15至25岁青少年。
- 幻觉
幻觉一般被定义为在缺乏外界刺激下所得到的感官认知。它们与认知扭曲不同,认知扭曲是指对外界刺激的错误理解。幻觉可能牵涉五官中任何一个感官,以不同形式出现,简单的譬如光、颜色、味觉、嗅觉等。复杂的可以是一些有意义的体验,像看见某些完整的动物及人物,与他们互动甚至听见一些声音。
- 幻听
幻听在思觉失调中是十分常见。幻听所听到的声音可能谈及某些人,甚至是好几个假想的角色中的对话。当幻听占满了脑海,会使患者特别痛苦。可是,听见声音的体验不一定是负面。有研究指出大部分听见声音的不一定需要精神病学的协助。
失眠,指无法入睡或无法保持睡眠状态,导致睡眠不足。通常指患者对睡眠时间和或质量不满足并影响白天社会功能的一种主观体验,从而引起人的疲劳感、不安、全身不适、无精打采、反应迟缓、头痛、记忆力不集中等症状。它的最大影响是精神方面的,严重一点会导致精神分裂。
- 思想及言语紊乱
谈话内容无意义的、急迫、缺乏主题、杂乱无章、语无伦次,不切实际以至别人难以理解。
- 妄想
脱离现实或令人难以置信的想法,但疑似患有"思觉失调"的人则深信不疑。例如他被监视及被迫害等想法。
- 其他表征
懒顾仪容;自我隔离;失去求学或工作的动力。
治疗[编辑]
由于这个阶段的患者,他的思维认知、逻辑推理、自觉反省能力都没有失去,多以心理开导为主。建议多与信赖的朋辈及家人分享个人的忧虑,可令自己减低抑郁,感到温暖,从而不至于到达真正的精神病阶段。
"思觉失调"可用药物治疗及心理治疗,药物治疗主要用作减退征状、由征状带来的紧张、不安及困扰。家人应持续监察患者情况,小心滥用药物等行为。
"思觉失调"和征状并不会自动消失,这些征状对患者有巨大影响。严重影响患者生活和社交,他们也可能对治疗抱有怀疑或顾虑;普遍担心别人对自己的看法,新的药物及疗法让患者不一定需要入院接受治疗,只需定期到门诊接受评估。倘若他们需要住院治疗,其留医时间亦可以尽量缩短 。 每个患者的康复过程和速度都会有分别;有些人可在很短的时间便可康复;而有些人需要较长的时间。在征状未完全受到控制前,有些患者会感到困扰和沮丧;担心自己不能治理,以及不知如何去面对未来的日子。在这关键的时候,家人和朋友应该给予支持和鼓励,协助他们面对难关,使他们相信"思觉失调"是可以治理的。
病发过程[编辑]
- 先兆期
这阶段难以被察觉和并不明显。征状包括焦虑、失眠、思想难以集中、多疑和社交退缩。
- 急性期
这阶段会有较明显的征状,例如思想及言语紊乱、幻觉和妄想。
- 第三阶段 康复期
"思觉失调"是可以医治的,大部份的人经治疗后都可以复原。
较严重的精神病[编辑]
精神病多增加了功能性的病因,比较常见的精神病有:
生理性病因[编辑]
生理性病因包括了:
参见[编辑]
参考文献[编辑]
- 思觉失调能治愈吗?,明报健康网
- http://www3.ha.org.hk/easy/chi/what_detail.html
- http://www3.ha.org.hk/easy/chi/what04.html
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La psychose (du mot grec ψυχή, psyche, « esprit, âme » -, et -ωσις, -osis, « anomalie ») désigne un groupe de troubles mentaux réversibles ou non, dont un des signes majeurs chez l'adulte est le délire ou l'hallucination1. C'est un terme psychiatrique et psychologique, développé notamment par la psychanalyse, évoquant le plus souvent une perte de contact avec la réalité chez le sujet. Pour certains soignants ce terme est imprécis et peu opérationnel.
Le trouble psychotique est complexe et variable en fonction des formes et du temps.
La psychose peut être accompagnée de comportements inhabituels voire étranges, de difficultés d'intégration sociale et d'une qualité de vie quotidienne dégradée.
Présentation[modifier]
Étymologie[modifier]
Le terme « psychose » fut employé pour la première fois par un médecin autrichien, le baron Ernst von Feuchtersleben, en 18452, comme alternative aux termes folie et manie. Il dérive du grec ψύχωσις (psychose), littéralement, « anomalie de l'esprit »3.
Historique[modifier]
C'est le psychiatre allemand Emil Kraepelin qui a posé les fondements d'une séparation nette entre troubles psychotiques et troubles névrotiques. Plus tard, Sigmund Freud a repris la séparation entre psychose et névrose dans son système psychopathologique. Eugène Minkovski a abordé les psychoses sous un angle phénoménologique, Henri Ey sous celui de l'organodynamisme, Jean Bergeret a été l'un de ceux qui a défini la psychose comme une « structure » (cf. structure en psychopathologie) regroupant notamment la schizophrénie, la paranoïa, la psychose maniaco-dépressive, etc.4,5, dans une approche psychopathologique systématisée. Pour d'autres, comme Piera Aulagnier, il s'agit d'une organisation psychique.
Terminologie[modifier]
Le terme psychose était utilisé pour définir les autismes sous le terme psychose infantile ainsi que pour désigner le trouble bipolaire sous le terme « psychose maniaco-dépressive ». Des professionnels considèrent que le terme psychose n'est pas précis, d'autant plus que certaines maladies regroupées sous le terme de psychose n'ont rien en commun6,7.
Définition[modifier]
Selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR), la psychose se caractérise par des troubles - transitoires ou permanents - de la personnalité liés à une altération du « sens de la réalité et de soi ». Elle associe des symptômes dit positifs (délires, hallucinations), négatifs (apathie, aboulie, émoussements des affects…) et dysexécutifs (attention, mémoire de travail). Les psychoses comprendraient deux grands groupes : les schizophrénies et les psychoses délirantes [pas clair].
Le terme de psychose indique souvent la nature, la cause ou le caractère dominant de la pathologie8.[pas clair]
Classification et symptômes[modifier]
La classification du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR) regroupe les psychoses sous le titre « schizophrénies et autres troubles psychotiques », ainsi que dans les « troubles de l'humeur ». Cette section inclut :
- « schizophrénie » ;
- « troubles schizophréniformes » ;
- « trouble bipolaire » ;
- « troubles délirants » (anciennement délires chroniques paranoïaques) ;
- « troubles psychotiques brefs » (anciennement considérés comme des bouffées délirantes aiguës sans évolution vers une maladie chronique) ;
- « troubles psychotiques secondaires » (toxiques, affection médicale générale) ;
- et « troubles psychotiques non spécifiés », au sein desquels peuvent être rangées certaines formes de psychose puerpérale.
Neurosciences[modifier]
Les avancées en neurosciences tendent à montrer que les syndromes psychotiques sont très nombreux avec des facteurs de risques variés. On peut retrouver des signes typiquement névrotiques chez des patients schizophrènes. Initialement, c'était un diagnostic de maladie mentale grave par oppositions aux névroses. Les progrès en psychiatrie ne permettent plus cette distinction avec un a priori de gravité.
Mécanismes[modifier]
Psychoses particulières[modifier]
Neurobiologie[modifier]
Les psychoses pourraient être dues à des maladies du système nerveux central, très différentes et provoquées par de nombreux facteurs (traumatismes psychologiques ou physique, intoxication, etc.)
Psychose induite[modifier]
L'expression « psychose induite » regroupe des psychoses aux causes organiques (« médicament ou produit chimique (psychose toxique), démence précoce, certaines formes d'épilepsie, causes endocriniennes, infections, troubles métaboliques, lupus érythémateux disséminé, séquelles à long terme de blessures de la tête »9).
Drogues[modifier]
Certaines drogues et médicaments peuvent, chez un individu souffrant de troubles psychotiques, aggraver la maladie ; les substances les plus souvent incriminées sont les stimulants (cocaïne, amphétamines), les hallucinogènes et le cannabis. De nombreux systèmes neurobiologiques liés à la dopamine, la sérotonine et le système endocannabinoïde jouent un rôle prépondérant dans le processus pathologique de l'affection.
Description[modifier]
Hallucinations[modifier]
Les hallucinations10 sont définies comme des perceptions en l'absence d'objet externe réel (stimulus externe). Elles doivent être distinguées des illusions, qui résultent de perceptions altérées de stimuli externes existant, et des hallucinoses, qui sont des perceptions en l'absence de stimuli externes mais avec conservation de la conscience de la nature endogène de la perception (le sujet parle d'une « espèce de rêve »). Les hallucinations peuvent affecter toutes les modalités sensorielles (vision, audition, olfaction, goût, toucher), mais, le plus souvent, le mécanisme de la psychose hallucinatoire sollicite des hallucinations auditives.
Idées délirantes[modifier]
Les hallucinations ne se confondent pas avec les délires, qui sont des constructions systématisées et structurées qui donnent un sens aux hallucinations et peuvent avoir des thèmes variés : persécution, mystique/messianique, grandeur, filiation, érotomanie, mort, négation des organes, etc. Leur émergence correspond à des mécanismes également variables : interprétation, intuition… relevant du domaine socio-culturel.
Troubles du cours de la pensée[modifier]
La psychose n'affecte pas intrinsèquement le rapport au Langage, où elle laisse même un lieu de construction — du psychisme —, cependant qu'elle se traduit par des altérations des mécanismes de pensée. Il y a suractivité mentale aussi bien que difficultés à rassembler sa pensée. Le sujet peut manifester une capacité amoindrie à se situer dans le présent, dans une relation indescriptible au temps qui passe (perte du sens des horaires, de sorte et par exemple). La personne s'enferme dans un monde restreint de suppositions, qui l'obnubilent.
On peut observer une tachypsychie (fuite des idées), une logorrhée, des digressions (une fuite des idées, des coq à l'âne), une diffluence (ou relâchement des associations), des questionnements obsessionnels, des circonlocutions, des néologismes, un rationalisme morbide et, à l'opposé de ce dernier, une pauvreté du discours spontané, des barrages (arrêt et reprise spontanée du discours), des fadings (diminution progressive de l'intensité sonore du discours)…
Anosognosie[modifier]
Une des caractéristiques importante de l'état psychotique est le déni des troubles. Classiquement, les patients, lors de ces épisodes, pensent que leur comportement, le contenu de leurs pensées et les expériences hallucinatoires qu'ils vivent sont réels et ne sont en aucune manière bizarres, inhabituels ou étranges. Cependant, plus le temps passe, plus une conscience – partielle – des symptômes apparaît.
Traitements[modifier]
Il dépend du diagnostic précis posé. Il doit être large et pluridisciplinaire avec une identification et un arrêt des facteurs déclenchants (biologiques ou psychologiques et sociaux), une discussion sur un éventuel traitement médicamenteux, une réadaptation progressive à l'environnement du sujet si nécessaire, une prise en charge sociale si nécessaire (voir schizophrénie).
Psychanalyse[modifier]
Psychanalyse freudienne[modifier]
Contre Eugen Bleuler11, Freud reprend en 1894 le concept de psychose à la psychiatrie de Emil Kraepelin11 au sens de délire ou d'hallucination inconscients. Freud a conduit trois cures de psychotiques mais qui ont tous été présentés comme des cas de névrose et sa seule analyse présentée en tant que telle comme un cas de psychose a été faite à partir de celle d'un livre, Mémoires d'un névropathe de Daniel Paul Schreber11. Au terme de ses recherches, Freud distingue la psychose de la névrose et de la perversion12.
Freud élabore une première théorie de la psychose entre 1909 et 1911, à travers le concept de « clivage du moi », c'est-à-dire comme une opposition entre le moi et la réalité, et abandonne la notion de schizophrénie au profit de celle de paranoïa qui devient le « modèle structural de la psychose en général »11.
Après sa nouvelle théorie du narcissisme (1914) élaborée dans la cadre de la seconde topique (1920), Freud définit la psychose « comme la reconstruction hallucinatoire dans laquelle le sujet est tourné uniquement vers lui-même, dans une situation sexuelle auto-érotique »13, coupé du contact avec la réalité et privé du rapport aux autres13.
Mais si Freud réintègre pour finir la notion de schizophrénie (rattachée par les symptômes à l'hystérie), il rejette tout de même l'idée de nosographie et pose une solution de continuité entre le normal et le pathologique, (à l'image du rêve, par exemple, où tout sujet dit « normal » connaît des hallucinations)13.
Au niveau théorique, Freud considère que la psychose est difficilement curable par la psychanalyse, du fait de la préoccupation narcissique : la parole du sujet fonctionne en circuit fermé ; de ce fait le psychotique ne peut — selon lui — opérer de transfert sur le psychanalyste, et aucune cure selon le procédé classique ne serait possible. Ses successeurs tiendront plus ou moins la même position, par exemple dans l'article de Victor Tausk sur la machine à influencer, qui explique les mécanismes à l'œuvre, mais ne donne que peu ou pas du tout de piste pour les traitements[réf. nécessaire].
Psychanalyse lacanienne[modifier]
La question de la psychose est importante dans la pensée de Lacan, qui considère explicitement que la psychose peut être traitée par la cure psychanalytique14,15. Lacan désigne à travers le concept de forclusion l'un des mécanismes spécifiques de la psychose d'après « lequel se produit un rejet d'un signifiant fondamental hors de l'univers symbolique du sujet »16. Le signifiant est alors dit forclos et n'est pas refoulé dans l'inconscient mais « fait retour sous une forme hallucinatoire dans le réel du sujet »16.
Autres[modifier]
C'est dans les années 1950 et suivantes que des analystes s'essayeront au traitement des psychotiques : un des précurseurs a été la psychanalyste suisse Marguerite Sechehaye, qui a traité une patiente schizophrène. Ce seront ensuite essentiellement les « kleiniens » (Herbert Rosenfeld, Donald Meltzer et, en France, Paul-Claude Racamier et autres) qui appliqueront les théories psychanalytiques aux psychotiques. Harold Searles est emblématique du traitement des schizophrènes par la psychanalyse ; il a publié L'Effort pour rendre l'autre fou17.
Notes et références[modifier]
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- (en) M. D. Beer, « Psychosis: from mental disorder to disease concept », Hist Psychiatry, vol. 6, no 22(II), 1995, p. 177-200 [résumé [archive] (page consultée le 27 janv. 2013)]
- (en) Douglas Harper, « Online Etymology Dictionary » [archive], 2001
- Jean Bergeret et al., Abrégé de psychologie pathologique, Masson, coll. « Abrégés », 2008, 10e éd. (ISBN 2294701747)
- Paul Wiener, « La structure du psychotique et le processus pathologique » [archive], sur psychopatho.fr
- (en) Michael G. Gelder, Richard Mayou et John Geddes, Psychiatry, Oxford University Press, 2005 (ISBN 9780198528630)
- Avec ou sans RDV : la schizophrénie [archive], sur inepsy, site des internes en psychiatrie de Nantes, 11 juin 2009
- Antoine Porot, Manuel alphabétique de psychiatrie, Presses Universitaires de France, coll. « Bibliothèque de psychiatrie », 1996, 7e éd. (ISBN 213047148X)
- « Psychopathologie et maladies du système nerveux central », dans Clive P. Page, Michael J. Curtis et Morley C. Sutter (dir.), Pharmacologie intégrée, Bruxelles, De Boeck université, 1999, p. 105 — Traduction de Georges Cheymol
- Henri Ey, Traité des Hallucinations, t. 2, Bibliothèque des Introuvables, 2004 (ISBN 2-84575-244-X)
- ↑ a, b, c et d Elisabeth Roudinesco et Michel Plon, Dictionnaire de psychanalyse, Paris, Fayard, 2011, p.1255
- Elisabeth Roudinesco et Michel Plon, Dictionnaire de psychanalyse, Paris, Fayard, 2011, p. 1254
- ↑ a, b et c Elisabeth Roudinesco et Michel Plon, Dictionnaire de psychanalyse, Paris, Fayard, 2011, p. 1256
- Corinne Fellahian, La psychose selon Lacan : évolution d'un concept, Paris, L'Harmattan, 2005
- Alain Lefèvre, « De la paternité et des psychoses : Une étude philosophique et psychanalytique », dans Du psychotique, t. 2, Paris, L'Harmattan, 2004, p. 36
- ↑ a et b Elisabeth Roudinesco et Michel Plon, Dictionnaire de psychanalyse, Paris, Fayard, 2011, p. 447
- Harold Searles (trad. Brigitte Bost, préf. Pierre Fédida), L'effort pour rendre l'autre fou, Paris, Gallimard, coll. « Poche », 2003 (ISBN 2070427633)
Annexes[modifier]
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Articles connexes[modifier]
- Schizophrénie
- Paranoïa
- Psychose maniaco-dépressive (ou trouble bipolaire)
- Neuroleptique antipsychotique
- Psychothérapie des psychoses
- Classification des psychoses de l'adulte
- Liste des maladies mentales
Bibliographie[modifier]
- Générale
- Marguerite Sechehaye, Journal d'une schizophrène, PUF
- Henri Ey, Hallucinations et Délire, Alcan (réimpr. 2000) (1re éd. 1934) (ISBN 2-7384-7843-3) — réédition L'Harmattan
- Henri Ey, L. Bonnafé, S. Follin, J. Lacan et J. Rouart, Le Problème de la psychogenèse des névroses et des psychoses, Desclée de Brouwer (1re éd. 1950) — rééd. Tchou
- Henri Ey, Bernard et Brisset, Manuel de psychiatrie, Masson, 1960 — 5 fois réédité
- Henri Ey, Traité des hallucinations, Tchou, 2004 (1re éd. 1973) — 2 tomes. Réédition T.1, Ed.: Bibliothèque des Introuvables, 2006 (ISBN 2-84575-185-0), Tome 2, Ed.: Bibliothèque des Introuvables, 2006, (ISBN 2-84575-186-9)
- Vassilis Kapsambelis et al., « Soigner la psychose », Évolution psychiatrique, Elsevier/Masson, vol. 73, no 4, octobre-décembre 2008 (ISBN 978-2-84299-981-0)
- Psychanalytique
- Collectif, Les Psychoses, la perte de la réalité : comprendre, soigner les psychoses, Sand & Tchou, 2004 (ISBN 2710705974)
- Luis-Fernando Crespo et Léon Grinberg, L'Identification projective dans les psychoses, L'Harmattan, 2003 (ISBN 2-7475-4397-8)
- Sigmund Freud, « Remarques psychanalytiques sur l'autobiographie d'un cas de paranoïa, dementia paranoïde, Le Président Schreber », dans Cinq psychanalyses, PUF — Cf. Président Schreber et Cinq psychanalyses
- Évelyne Kestemberg, La Psychose froide, PUF, 2001 (ISBN 2130517986)
- Christian Müller, Études sur la psychothérapie des psychoses, Privat, 1999 (1re éd. 1982) (ISBN 273847005X) — rééd. L'Harmattan
- Jacques Lacan, De la psychose paranoïaque dans ses rapports avec la personnalité, Paris, Seuil, coll. « Points essais », 1975
- Jacques Lacan, D'une question préliminaire à tout traitement possible de la psychose ; Écrits, Seuil, 1966
- Jacques Lacan, Séminaire sur les psychoses, Paris, Seuil, coll. « Séminaires de Jacques Lacan »
- Salomon Resnik, Personne et psychose, Du Hublot, 1999
- David Rosenfeld (préf. Otto F. Kernberg et Pr. Didier Houzel (pour l'éd. française)), Le patient psychotique - Aspects de la Personnalité, Hublot, 2005
- Herbert Rosenfeld, États psychotiques, PUF, 1976
- Michel Soulé, Les traitements des psychoses de l'enfant et de l'adolescent, Centurion, 1992 (ISBN 2227005513)
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